dimanche 13 avril 2008

Le programme d’actions de l'UMP (extrais)

Relancer l’action politique


1.
Restructuration des fédérations

  • Remplacement des Secrétaires départementaux défaillants
  • Mise en place de la culture du résultat avec élaboration d’un tableau de bord et d’un contrat d’objectifs spécifiques aux fédérations

2.Renouvellement anticipé des cadres locaux (Election durant la deuxième quinzaine de novembre 2008)

3. Réorganisation de la présence de l’UMP à l’étranger

4. Tournée d’audit dans les grandes villes perdues (Toulouse, Strasbourg, Lyon, Reims, Metz)

5. Ancrage de l’UMP dans les quartiers populaires par l’installation systématique de permanences

6. Lancement d’un vaste plan de formation des cadres et rénovation de l’ANDL

7. Lancement d’une campagne d’adhésion et généralisation du contrat d’adhésion sur 5 ans (carte 55)

8. Renouvellement et détermination de nouveaux objectifs pour les Jeunes Populaires

9. Réactivation des Jeunes Actifs

10. Sélection des futurs candidats et organisation de leur formation afin de mettre un terme aux parachutages tardifs

11. Création d’une grille disciplinaire

12. Tournée des partis réformateurs et de centre droit de l’Union européenne, en particulier dans les pays nouveaux entrants et de l’Europe de l’Est


Ouvrir le débat et favoriser la démocratie interne

1. Désignation des futures têtes de liste régionales par vote des adhérents un an avant l’élection

2. Organisation d’une convention sociale, jeudi 12 juin 2008 à la Mutualité ouverte à l’opposition et aux partenaires sociaux afin de déterminer un plan d’action au sujet des travailleurs pauvres, du temps partiel subi et des petites retraites notamment

3. Organisation d’une réunion des nouveaux adhérents, samedi 24 mai 2008, salle Gaveau

4. Organisation des Universités d’été à ROYAN, sous chapiteau, sur le thème de la présidence française de l’Union européenne

5. Réorganisation des supports de communication de l’UMP (magazine, bulletin, site internet)

6. Lancement d’une campagne de levée de fonds

7. Recherche d’un nouveau siège national plus fonctionnel et plus ouvert

8. Mise en place de la Fondation pour la République


Le calendrier des élections internes.

Le Bureau Politique a décidé d’avancer le renouvellement des instances locales dans un souci d’efficacité à l’automne prochain. Sont concernés : les délégués et les comités de circonscription, les comités et les présidents départementaux.
Seront également organisées les élections du Conseil National.

La ratification des décisions disciplinaires prises au cours des campagnes municipales et cantonales, en vertu de l’article 34 de nos statuts.

Le Bureau Politique de l’UMP a sanctionné les candidats dissidents ou déloyaux lors des dernières échéances électorales, en association avec les fédérations concernées. Les sanctions, pouvant aller jusqu’à trois ans de suspension du Mouvement, leur interdisent de se présenter aux élections internes du Parti.

Edouard COURTIAL a présenté une note de cadrage, proposant la mise en place de contrats d’objectifs pour les fédérations :
1/ Mise en place de contrats d’objectifs pour les adhérents
2/ Mise en place d’une évaluation des fédérations et du Secrétaire départemental, sous la forme d’un tableau de bord qui se basera notamment sur l’animation par les secrétaires départementaux de leur fédération et sur leur participation aux réunions des instances nationales


Communiqué du 9 avril 2008

samedi 5 avril 2008

Impôts régionaux : la vérité


Face aux assertions des dirigeants socialistes qui affirment que la gauche, au niveau local n’a pas accru la pression fiscale, Roger KAROUTCHI, Secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement et Président du groupe Majorité Présidentielle au Conseil régional d’Ile-de-France rappelle que depuis 2004, les impôts régionaux ont augmenté de plus de 30 % sur l’ensemble de la France, ce qui représente un prélèvement supplémentaire de 2 milliards d’euros par an pour les contribuables.

En Ile-de-France, l’augmentation des impôts régionaux atteint même 60 % depuis 2004, ce qui correspond pour cette seule région à un prélèvement supplémentaire de 450 M€.

De même, avec la hausse de la part modulable de TIPP, ce sont 500 M€ supplémentaires qui sont prélevés chaque année sur les automobilistes de l’ensemble de la France.

Voilà des mesures imposées par les exécutifs socialistes des régions qui contribuent à rogner de manière considérable le pouvoir d’achat des Français.

vendredi 4 avril 2008

Garder son enfant à Clermont

M. le Maire de Clermont a démontré au conseil municipal de mercredi 2 avril qu’il n'était vraiment pas décidé à faire des efforts, nonobstant sa fonction d'élu pour tous les clermontois.

Il a mélangé la politique locale à celle de notre Président, il a tenu des propos déplacés malgré son salaire, nous le rappelons : payé par tous nos concitoyens, en prime une voiture de fonction.

Un minimum de respect de l’autre est indispensable pour soutenir le système démocratique.

Pendant la séance il a été interpelé par l’opposition sur le rôle de certains maires adjoints et notamment le rôle du maire adjoint chargé du " temps de l'enfant"

Réponse :

« Cela ne concerne uniquement que les enfants scolarisés »

Les autres plus jeunes qui ne vont pas encore à l'école, ne font-il pas partie des enfants de Clermont ? Pourquoi le temps de l'enfant ne les concerneraient-ils pas ?

Il y a de plus en plus de jeunes couples parents des bébés travaillant sur Paris qui s'installent à Clermont. Ils ont vraiment de grosses difficultés à trouver une solution pour faire garder leur « petit bout » souvent pour une durée de 10 heures par jour, c'est un vrai problème de société!

M. le Maire ne pourrait-il pas trouver des solutions pour ces tout-petits qui ne vont pas encore à l'école dont les parents ont les mille peines à trouver un moyen pour les faire garder ?

Il n'y a plus de place en crèche, les assistantes ne sont pas assez nombreuses et très souvent n'ont pas de place à offrir pour garder les tout-petits. Nous avons des familles désespérées cherchant une assistante maternelle pour leur enfant, ils ne trouvent aucune place disponible dans le clermontois !

M. le Maire n'a pas abordé le sujet de l'adhésion au Relais GEP des assistantes maternelles agrées, c'est un désir qui reste fort pour les parents et pour les assistantes maternelles. Nous espérons que cela pourra se concrétiser.

Dans son programme, M. le Maire socialiste, promet de créer une nouvelle halte garderie, ce n'est pas une structure d'accueil adaptée aux enfants dont les parents partent travailler toute la journée. Il est adéquat que pour laisser son enfant quelques heures!

M. L. Ollivier, maire de tous les clermontois doit réagir. Tel est l’impératif de sa fonction de premier élu communal.

dimanche 23 mars 2008

Patrimoine Historique de Clermont


Réunion de la Société Archéologique et Historique de Clermont

Le 29 mars 2008 à 15 heures, salle Fernel de l'Hôtel de ville

Exposé de M. Bernard Desjardins de la société archéologique et Historique de Clermont

Sujet: L'évolution du bâti de l'Hôtel de ville de Clermont

Après deux anneés de recherches, M. Bernard Desjardins a pu rassembler de nouvelles données inédites. A l'aide d'un diaporama de plus de 150 photos et plans, il nous fera visiter et découvrir d'une façon approfondie mais virtuelle l'édifice, à la recherche d'indices et de vestiges encore visibles, malgré l'importante restauration qu'a subi le bâtiment au 19e siècle. Ces indices peuvent témoigner et nous guider pour mieux comprendre l'évolution du bâti de la parcelle 44 que le bâtiment actuel occupe dans sa totalité.

P/S: La cotisation à la Société Archéologique et Historique reste fixée à 20 euros pour 2008

mercredi 19 mars 2008

Victoire de la gauche?

Une abstention exceptionnellement forte due à l’absence de vrais enjeux de fond et à une idéologie municipale unique

http://www.polemia.com (sic)

Contrairement à la désinformation pratiquée, le dimanche 9 mars au soir, par les journalistes et les instituts de sondage, les Français n’ont pas retrouvé le chemin des urnes. Bien au contraire. Le chiffre de participation du premier tour – 66,5% – est en retrait de 1% par rapport à 2001 et c’est le chiffre le plus faible enregistré depuis 1959. L’abstention a même atteint 39% dans les communes de plus de 3.500 habitants et 44% au-dessus de 100.000 habitants. Et les votes blancs et nuls ont, pour la première fois, dépassé 4% dans les communes de plus de 3.500 habitants.

Au deuxième tour, – dans l’attente des totalisations définitives – l’institut de sondage CSA évaluait à 35% l’abstention, soit 5% de participation en moins qu’en 2001, marquant là aussi un record d’abstention depuis 1959. Sur Paris, de 2001 à 2008 la participation au deuxième tour a baissé de huit points. Dans les communes de plus de 3.500 habitants, l’abstention a atteint 38%, concernant plus d’un électeur sur trois.

Cette forte abstention s’explique aisément par l’absence d’enjeux de fond et l’adhésion des principales listes PC/PS/MODEM/UMP à une idéologie municipale unique : la « gauche » ayant fait mouvement vers la « droite » sur les questions de sécurité et la « droite » vers la « gauche » sur les questions de société. Le vocabulaire « pipo » de la communication a envahi tous les programmes qui se devaient d’être « solidaires » et « éco-citoyens ». (Voir Les municipales à l’ère post-démocratique : http://www.polemia.com/contenu.php?iddoc=1609&cat_id=39).

Comme le note justement « Le Monde », dans un article du 16/17mars : « Qu'il s'agisse de logement, de transport, de sécurité ou de petite enfance, l'analyse des bilans et des projets des élus des villes (…) met en évidence des approches souvent similaires dans des communes pourtant dirigées par des maires de bords opposés. Ce pragmatisme explique que la plupart des délibérations examinées par les conseils municipaux soient votées à l'unanimité. Cela explique aussi pourquoi des élus de droite et de gauche réussissent à s'entendre dans le cadre des communautés urbaines et communautés d'agglomération – là où sont mises en œuvre les politiques les plus importantes. »

Les listes elles-mêmes étaient composées à l’identique : la loi « chabadabada » a imposé la parité hommes/femmes ; la mode de l’ouverture a conduit à placer des hommes de « gauche » sur des listes de « droite » (mais rarement l’inverse !) ; la dictature du Politiquement Correct a débouché sur l’abandon du mérite républicain au profit des quotas ethniques et des représentants des minorités sexuelles. Ainsi au nom de la « diversité » les grands partis ont proposé aux électeurs des listes quasi identiques. De quoi inciter les plus blasés ou les plus lucides à rester chez eux !